Déclaration liminaire du dialogue social du 30 juin 2021
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Mesdames, Messieurs,
Nous ne pouvions pas ne pas réagir dans un premier temps, au sein de cette Assemblée Générale du Dialogue Social, à l’actualité et à la dernière délibération présentée au Conseil d’Administration de l’AEFE ! La décision récente de l’Agence, d’exclure les Agents de Droit Local des aides de l’Etat pour la prise en charge des frais de quatorzaine, démontre une nouvelle fois le mépris à l’égard de ses personnels des EGD. C’est encore une fois une décision de l’Agence qui va à l’encontre de ses agents qui ne sont, in fine, qu’une infime partie à être concernés par cette situation. Cela vient s’ajouter à une longue liste ; les gels de salaires, les revalorisations ou primes insignifiantes, les suppressions de postes, dans un contexte difficile, démontrent la volonté de ne pas investir dans les ressources humaines du réseau EGD, au profit de son extension, à n’importe quel prix.
On nous assène, bien trop souvent, qu’il n’y a pas d’argent... et pourtant faut-il rappeler que des établissements partenaires, où le dialogue social est inexistant, ont pu bénéficier des aides attribuées dans le cadre de la crise sanitaire actuelle ? Et quid de certaines créations de poste ? Il existe parfois des créations de postes de confort qui ne sont pas une réelle nécessité alors qu’en parallèle des collègues occupant des postes essentiels doivent se contenter de contrats précaires ; cette situation est due notamment à un manque de dialogue local en ce qui concerne les besoins et les décisions de créations de postes des personnels de droit local. Ces décisions ne doivent pas relever uniquement des chefs d’établissements mais il doit y avoir avant tout une véritable concertation. Nos propositions, ici au sein de cette instance, ou au niveau de l’Agence, ne s’efforcent qu’à garantir des conditions de travail et de rémunérations à la hauteur des enjeux ; mais elles se heurtent continuellement au fameux principe d’une réalité figée dans la rigueur budgétaire et soumise inlassablement au plafond d’emploi.
Nous continuerons, sempiternellement, à défendre nos collègues que ce soit pour l’augmentation de la prise en charge des frais de scolarité, pour le paiement des congés scolaires pour tous, en somme, pour le respect des droits des personnels. Nous tenons à rappeler, enfin, que le contrat de vacataire n’existe pas dans le règlement du travail marocain. Contourner ce manque par des contrats successifs de 10 mois, occultant les congés de juillet-août n’est pas digne de nos établissements.
Nous vous remercions pour votre écoute.
Déclaration liminaire CCPL Vendredi 4 juin 2021
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Monsieur le Cocac-adjoint, Mesdames et Messieurs les membres de la CCPL,
Permettez-nous de vous lire deux articles :
« - toutes facilités doivent être données aux membres des commissions pour exercer leurs fonctions (article 22 de l’arrêté du 27/02/2007). »
« - toutes pièces et tous documents nécessaires doivent être communiqués aux représentants du personnel au moins huit jours avant la date de la séance (article 22 de l’arrêté du 27/02/2007). »
Ces extraits, en introduction de notre déclaration liminaire, ne sont pas pour nous de simples éléments de langage mais sont bien issus d’une circulaire de l’AEFE ; et pour nous cela a du sens.
Devons-nous rappeler à l’administration de respecter les textes ? Nous espérons que cela est superflu aujourd’hui, et à l’avenir.
Des collègues sont informés de leur recrutement avant la tenue de la CCPL ! Cette dernière, statuant sur le recrutement des personnels de droit local, est trop souvent présentée comme une instance d’écoute ou de prise d’informations ; est-il besoin de rappeler qu’elle émet également un avis ? Ce n’est pas parce que l’avis souvent émis en CCPL est conforme à celui de la commission de recrutement, grâce notamment au travail de chacun, que cette décision en deviendrait facultative, voire négligeable.
Le recrutement des personnels est un point essentiel du bon fonctionnement de nos établissements scolaires ; il convient d’en définir les modalités et de mettre en place un véritable processus associant étroitement les représentants des personnels, et ce afin d’établir un classement efficient et transparent des candidats. Le rôle des représentants des personnels dans ce dispositif ne doit pas être négligé et ces derniers doivent être invités à participer aux commissions de recrutement qui se tiennent en amont de la CCPL, dans tous les pôles.
Nous observons encore trop souvent des incohérences entre les appels à candidature et les candidats sélectionnés : incohérence sur le niveau de diplôme requis ou encore incohérence sur la nécessité d’être en possession d’une carte de résident. Il nous parait donc urgent, comme nous l’avons dit, de préciser les modalités de recrutement des personnels de droit local et ainsi, in fine, de redonner toute son importance à la CCPL. Nous déplorons le choix qui a été fait d’organiser cette CCPL en distanciel aux dépens de véritables échanges qui auraient pu se dérouler en présentiel. Nous souhaitons que la prochaine commission ait lieu au SCAC afin de redynamiser pleinement nos échanges et de les stimuler.
Nous vous remercions pour votre écoute.
Déclaration liminaire CCPL Février 2021
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Déclaration liminaire du DIALOGUE SOCIAL du vendredi 9 avril
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Nous sommes réunis pour une Assemblée Générale de Dialogue Social. Encore une fois, le bilan est maigre, voire inexistant. Monsieur le Conseiller culturel adjoint, aucune avancée significative n’a eu lieu. Encourager des décisions audacieuses, c’est ce que nous attendons ; évitons les vieux face-à-face qui n’apportent rien ; revitalisons le dialogue social en lui donnant du corps, en impulsant les décisions, en lui octroyant toute la quintessence que doit avoir une telle instance ! Sachez arrêter l’immobilisme et la fixité qu’a connus le dialogue social ! Monsieur le Conseiller Culturel Adjoint, des droits et même des dûs sociaux et démocratiques doivent être accordés. L’attente est grande, la situation s’y prête. Montrez-nous l’empathie et la bienveillance tant vantées de tous. Les personnels ne sont pas un coût, mais ils sont bien producteurs de véritables richesses intellectuelles ; ils sont les vecteurs de la francophonie et les acteurs indispensables à notre politique d’influence !
Cette Assemblée Générale doit donner, dès aujourd’hui, les lignes directrices pour assainir la situation d’un certain nombre de personnels, parfois un ou deux collègues dans tout un établissement, en reconnaissant leur travail et leurs compétences. Il s’agit, en somme, de la première étape de la reconnaissance de la valeur, qui n’est que pécuniaire. L’ensemble des syndicats de la FSU et de l’UMT vous remercie pour votre écoute et attend désormais et dès cette réunion même des avancées notables sur les revendications légitimes des collègues.
Poste de résident pour la rentrée 2021
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Chers collègues,
Vous souhaitez postuler pour un poste de résident pour la prochaine rentrée ?
Toutes les infos sont par ici : https://www.aefe.fr/personnels/recrutement-des-residents/procedures-et-calendriers
N'oubliez pas de nous faire parvenir votre fiche syndicale ( FICHE ) complétée à l'adresse suivante : Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.
Tutoriel :