Lycée Lyautey à Casablanca - communiqué FSU / SUD éducation
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COMMUNIQUE FSU (SNES-SNEP) / SUD éducation
Le mardi 18 décembre 2018 de 11h à 12h, alors que des membres du personnel avaient cessé le travail pour lutter contre le manque de considération de nos employeurs et pour défendre leur pouvoir d’achat durement attaqué, l’administration du lycée Lyautey a décidé de comptabiliser certains personnels en lutte sur ce créneau, de les considérer comme grévistes sur la journée et d'en informer l'Agence. C’est une première dans l’histoire récente de notre établissement.
La FSU (SNES-SNEP) et SUD éducation dénoncent avec force cette décision qui consiste à pénaliser encore plus des personnels qui défendent leurs conditions de vie, de travail, leurs salaires et leur pouvoir d’achat et qui réclament davantage d’écoute de la part de nos décideurs. Au manque de considération dénoncée s'ajoute le mépris de l'AEFE qui n'a comme seule réponse au mécontentement légitime des personnels, le retrait d'une journée de salaire ! Cette décision ne fait qu'ajouter de la colère à la colère.
Malgré cette pression hiérarchique, SUD éducation et la FSU (SNES-SNEP) appellent l'ensemble des personnels à poursuivre la lutte pour défendre et faire aboutir les revendications portées par les collègues le mardi 18 décembre dernier.
La FSU (SNES-SNEP) et SUD éducation / Lycée Lyautey - le vendredi 21 décembre 2018
Campagne de recrutement résidents AEFE pour la rentrée 2019
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Bonjour à tous !
La campagne de recrutement pour les postes de résidents (rentrée 2019) est ouverte.
Les infos sont par ici : Cliquez
Bonne lecture !
Motion Snes-FSU pour le CGG du Lycée Lyautey du mercredi 28 novembre
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Depuis l’année dernière, la discussion sur la carte des emplois n’est plus que l’occasion pour l’administration de proposer des fermetures de postes, au gré des opportunités.
Ces fermetures de postes, conjuguées au plafond d’emplois des PDL, bloquent toute réflexion pédagogique ou éducative.
Alors même que des besoins de vie scolaire se font sentir à Anatole France depuis plusieurs années, la demande d’une ouverture de poste de CPE résident à temps plein reste lettre morte, et le recrutement de 2 postes de surveillants à mi-temps est bloqué depuis la rentrée.
Alors même que la réforme du lycée et du baccalauréat à Lyautey nécessite une réflexion sereine sur les évolutions en profondeur du système éducatif, les fermetures de postes sont dans toutes les têtes.
L’agence, mais encore plus le gouvernement, doivent prendre la mesure du fossé qui existe entre les discours et la réalité du terrain à l’étranger.
Sans doute n’avons-nous pas la même vision de ce que représente l’enseignement français à l’étranger, ni les valeurs que nous associions à la fonction publique et au rôle des détachés dans le système.
La FSU continuera à s’opposer aux évolutions négatives en cours et à défendre le système public d’éducation à l’étranger.
CCPL du jeudi 29 novembre
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Cher(e)s collègues,Vous trouverez ci-joint un compte rendu de la CCPL qui s'est tenue la semaine dernière à Rabat et la retranscription de la déclaration liminaire FSU.
Déclaration du SNES-FSU au conseil de groupement de gestion du pôle de Rabat-Kenitra
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Mesdames et Messieurs les membres du Conseil de Groupement de Gestion.
Nous souhaitons, par la présente, récuser le format de ce Conseil, tant par la forme que sur le fond. Nous considérons que les exercices passés de ce présent Conseil furent inadmissibles et inacceptables. A quoi bon se réunir pour discuter puis voter des mesures d’adaptations qui, peu importe les arguments et les résultats des votes, sont décidées bien à l’avance. Quelles parodies de débats et de votes quand toute l’administration s’exprime d’une seule voix. Certains chefs d’établissement allant parfois à l’encontre des intérêts de leur propre établissement. Quelques exemples non exhaustifs : la carte des emplois, les changements d’horaires dans le premier degré, le budget dont il n’est fait qu’une simple présentation etc.
Nous dénonçons également le ton plus que discourtois employé par certains membres permanents de ce Conseil et les menaces non voilées envers les élèves dont les parents connaîtraient des retards de paiements. Ce genre de discours est inadmissible dans le cadre de cette assemblée qui représente notre institution dont la vocation est d’accompagner la réussite de tous les élèves et non seulement des plus fortunés. Nos établissements sont certes payants mais délivrent, encore, un service public.
De plus, le fait qu’aucun autre créneau que celui du mercredi après-midi ne puisse-t-être trouvé laisse songeur quant au niveau de priorité avec lequel est préparé ce Conseil.
Nous exigeons dès à présent que soit donné à cette instance, où des représentants sont démocratiquement élus, un rôle réel de dialogue et d’échanges. S’il ne s’agit que de cautionner des décisions prises, merci d’arrêter de nous faire perdre notre temps.